Le plan de thèse

Ce n’est pas tout d’avoir toutes sortes d’idées et une bonne quantité de matière. Pour rédiger sa thèse, il faut S’ORGANISER !

Et c’est là que l’on se rend compte qu’écrire un article de 20-30 pages, ou préparer une conférence, c’est tellement plus facile que de pondre une thèse de 300-400 pages ou plus. Car à ce moment là, le but de l’organisation n’est pas seulement de mettre sur pied un truc qui rend bien et qui fait intelligent, il faut également éviter de se répéter et faire en sorte que chaque chose soit à sa place (comme dans le conte d’Andersen).

Et bien justement, moi je me sens plutôt comme Alice devant trouver le bon chemin : ça part dans tous les sens et je n’ose faire un pas dans un sens plutôt que dans l’autre. J’ai tout essayé : les plans traditionnels, les cartes conceptuelles et autres mind mapping, les bouts de feuilles volantes et les post-its…

Mais comme je l’ai dit dans le précédent article, peut-être que je me trouve des excuses, peut-être qu’il suffit de se lancer, de commencer la rédaction, et alors mon plan s’organisera de lui-même…

(le premier qui me casse mon rêve, je l’étripe !)