L'avant colloque
Dans deux semaines je pars pour un gros colloque d'une semaine... colloque pour lequel j'avais envoyé une proposition de communication début septembre (proposition dans laquelle j'avais mis un peu n'importe quoi parce que je n'avais pas encore commencé à travailler sur ma thèse)
Tout ça pour dire qu'à chaque fois l'avant colloque est identique : deux semaines avant j'ai quelques idées de ce que je vais dire et comment, mais le stress commence à pointer le bout de son nez et de fait, je trouve tous les moyens possibles pour repousser l'échéance et donc, la rédaction de mon papier. Cela me stresse encore plus puisque je n'avance pas, et un cercle vicieux commence.
C'est le moment où tout est plus intéressant que bosser sur la com' : voir des amis, lire des ouvrages qui n'ont rien à voir, se mettre à l'harmonica, écrire un article sur ce blog, etc...
Et puis, il y a les petites questions du directeur "ça avance pour le colloque ?", et la réponse évasive qui s'en suit "euh... oui" XD
Au final, je m'approche dangereusement de l'apoplexie, je frôle la spasmophilie, et puis à un moment un déclic se fait ressentir, je m'y mets sérieusement et je suis enfin satisfaite de moi...
Bon bah, il n'y a plus qu'à attendre...